Avec ses petits sabots et son air nonchalant, l’âne corse a le pied sûr. Il sait choisir le meilleur passage entre les rocailles, en montée ou en descente. Bâté ou non, il se déplace là où aucun cheval ne passerait.
De grands yeux encadrent un regard d’un douceur infinie, et ses longues oreilles mobiles témoignent de son attention envers son entourage.

L’âne corse n’est pas encore reconnu en tant que race par les Haras Nationaux. Son cheptel serait d’environ 300 animaux sur le territoire corse (Corse matin 06/01/2011).
On distingue nettement le petit âne gris, pur corse, d’un autre âne plus grand et presque noir, issu de l’âne gris et d’une race d’âne catalane.

Souhaitons-lui un bel avenir sur son île de beauté, qui perdrait avec lui, non seulement un emblème, mais aussi un précieux compagnon.

Vous venez de trouver un pigeon égaré : bagué et fatigué, il s’agit sans  doute d’un pigeon voyageur.

Pour lui venir en aide, vous pouvez commencer par lui donner de l’eau et du grain : blé, maïs, petites graines, éventuellement des petits pois ou du riz. Evitez le pain qui risque de provoquer des troubles intestinaux.
Ainsi nourri, il pourra se reposer tranquillement, et repartira de lui-même le lendemain, en vous saluant de son bel envol !

S’il ne repart pas ou qu’il est vraiment en mauvais état, reportez-vous aux instructions très détaillées que vous retrouverez sur le site de la Fédération Colombophile Française : www.colombophiliefr.com.

Et merci à vous d’avoir donné un coup de pouce à cet oiseau courageux, il vous en sera reconnaissant, ainsi que son  propriétaire.